Entrepreneurs, slashers ou bien freelances, ils sont le symbole d’une mutation bien réelle du monde du travail et nous montrent qu’entre travail salarié et entrepreneur solitaire, une troisième voie est possible : choisir l’indépendance sans renoncer au sentiment d’appartenance.

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En 10 ans à peine, le visage du monde du travail a profondément changé, avec en toile de fond les nouvelles aspirations des actifs…
 
Pour exemple ils sont 830 000 freelances en France et représentent 3 % des actifs. 
 
Ils devraient être le début d’une longue liste : en effet 1 français sur 2 estiment qu’il pourra travailler dans un futur proche en dehors de tout lien d’appartenance à une entreprise
 
Seul un français sur 4 a l’intention de rester chez son employeur actuel jusqu’à la fin de sa carrière.
 
De plus, il serait illusoire de croire que ce goût pour la liberté et le travail en mode projet est exclusif aux jeunes générations : cet état d’esprit inédit et cette nouvelle vision du travail se développent et touchent toutes les générations. Le pourcentage de travailleurs seniors (âgés de 55 à 64 ans) qui démarrent une nouvelle entreprise a augmenté, dépassant de 68% le taux d’entrepreneuriat chez les milléniales (âgés de 20 à 34 ans)
 
Et un retour en arrière est peu probable :  73 % des freelances interrogés ne souhaitent pas revenir au salariat.
 
Selon ces nouveaux actifs, ce statut apporte une vision du travail plus libre et autonome qui répond davantage à leurs besoins. Heureux de leur statut, 90% des freelances le sont devenus par choix. 
 
La première motivation est bien sûr celle de devenir son propre patron.
 
Les freelances ont alors une liberté totale que ce soit dans le choix du lieu de travail, des horaires mais aussi des clients.
 
En bref, une belle génération qu'il va falloir apprendre à manager (voir notre article pour intégrer des ressources externes) et qui va faire bouger les lignes des entreprises. 

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