Quelles sont ces nouvelles tendances qui inquiètent les entreprises ?
2 nouveaux phénomènes font le buzz dans les médias, insitu vous en dit un peu plus.
De quoi parle-t-on ?
7% des collaborateurs ont ou vont démissionner cette année.
Le premier trimestre connaît une hausse des demandes de démission. Ce n'est pas inédit, de tels phénomènes sont parfois observés au moment des reprises économiques. Le Covid et les confinements ont poussé les salariés à remettre en perspective leur vie professionnelle.
Certains changent radicalement de voie, d'autre choisissent des emplois moins prenant, moins contraignant pour profiter de leur temps libre.
Plus insidieuse que sa grande sœur, cette tendance illustre le besoin des salariés à profiter davantage de leur vie personnelle.
Le principe, suivre sa fiche de poste à la lettre, ne pas en faire plus, voire essayer d'en faire moins. Le minimum pour ne pas être licencié. Le salaire sans s'investir, le travail sans initiatives.
Est-ce réellement un frein ou un danger pour l'entreprise ?
Les collaborateurs de l'entreprise sont sa richesse. Recruter des Talents compétents, les former, les accompagner prend du temps et coûte de l'argent. Il est donc naturel que l'entreprise souhaite garder ses collaborateurs. Un départ, une démission, c'est un savoir-faire qui s'échappe.
Pour autant, c'est également l'occasion de mettre les fonctions en perspective. Pourquoi ce collaborateur part ? Est-ce parce que le poste n'est pas intéressant, trop chargé, pas assez, la méthode est-elle la bonne ?
En ces temps de tension, chaque recrutement oblige les entreprises à se réinventer, à penser ou repenser sa marque employeur.
Dans le cas du quiet quitting, le risque est plus grand pour votre organisation. La perte de temps, le risque de contagion aux autres collaborateurs sont présents.
Il existe plusieurs moyens pour limiter le risque de propagation de cette attitude passive. La principale est la reconnaissance de ceux qui font et qui s'investissent.
Et si le salariat n'était pas la réponse universelle ?
Nouveaux modes de travail, nouvelles aspirations des salariés, contraintes économiques... Le monde du travail est bousculé.
Selon les fonctions, vous allez rencontrer des publics pour lesquels travailler 5 jours par semaine, 47 semaines (ou moins) par an n'est pas un idéal à atteindre. Pour les générations Y et Z, en quête de sens et de variété, c'est encore plus difficile à envisager.
Les réponses peuvent être multiples : télétravail, flexibilité, apport de sens au travail...
Et pour votre entreprise ? Est-ce que vous avez vraiment besoin d'une présence 5 jours par semaine ?
La réponse d'insitu réside dans le sur-mesure. Nous conjuguons, les attentes des collaborateurs et les besoins des entreprises.
Comment ? En intégrant 3 paramètres :
Si le principe vous interpelle, que vous voulez en savoir plus...
C'est tout simple ! Contactez-nous.
Notre équipe sera à l'écoute des besoins de votre entreprise et saura vous dire si ce modèle peut lui correspondre.
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