La réponse est simple et sans plus attendre la voici : Besoin de flexibilité et d’innovation ! Pour y répondre, les entreprises peuvent actionner trois leviers principaux : développer de nouvelles pratiques de travail, déployer des technologies pour les accompagner et enfin ... diversifier les typologies d’espaces proposées.
Ainsi l’hypothèse que le travail devient de plus en plus mobile est sans doute une tendance de fond. Malheureusement elle n’est pas encore généralisée : 12 % des salariés déclarent se déplacer régulièrement, les autres ne se déplaçant pas ou peu.
Mais pourquoi doit-on être mobile à l’intérieur même de son espace de travail ?
Une trop grande sédentarité est généralement considérée comme un facteur d’immobilisme, ou de conservatisme. Alors que bien accompagnés et maîtrisés, l’encouragement à la mobilité développeraient l’ouverture, la curiosité, l’adaptabilité et donc l’innovation !
C’est cette philosophie des relations humaines qui d’ailleurs sous-tend le flex office : favoriser les échanges, les rencontres, les synergies serait source de créativité pour les collaborateurs et donc de productivité pour les entreprises, en particulier celles qui se positionnent sur de la production matérielle ou immatérielle à forte valeur ajoutée.
De la même façon, lorsque les salariés goûtent aux bénéfices et au confort offerts par les nouvelles pratiques et outils technologiques, ils en redemandent !
Mais faire tomber les cloisons n’est pas un geste anodin ! C’est un changement qui nécessite de développer une véritable démarche de conduite du changement axée sur l’écoute et la pédagogie, pour éduquer, convaincre, plutôt qu’imposer.