La charge mentale du dirigeant : trop de casquettes et une seule tête

Spoiler : si vous êtes chef d’entreprise et que vous vous reconnaissez dans ce titre, c’est peut-être qu’il est temps de souffler un peu. Bonne nouvelle : il existe une solution dirigeant simple, concrète, et rentable.

Le dirigeant a (vraiment) la tête dans le guidon

Rien de nouveau sous le soleil me direz-vous ? Peut-être. Mais les chiffres récents méritent que nous nous y arrêtions :

• 82 % des dirigeants français¹ déclarent souffrir d’au moins un trouble physique ou psychologique

• 66 % évoquent un burn-out ou un épuisement professionnel², soit 10 points de plus que la moyenne mondiale

• 1 dirigeant sur 3³ renonce à consulter un médecin, faute de temps ou par culpabilité de « délaisser » l’entreprise

• Seuls 68 % se considèrent encore en bonne santé mentale⁴, contre plus de 76 % les années précédentes

• Dans l’industrie, 25 % des dirigeants⁵ sont en mauvaise santé mentale

Autrement dit, derrière la success story entrepreneuriale, il y a souvent un patron épuisé, isolé, parfois à deux doigts de faire une réunion avec sa machine à café tellement il manque d’interlocuteurs.

Trop de sujets pour un seul cerveau

Le cœur du problème ? Une charge mentale exponentielle. Vous devez jongler avec :

• La gestion financière (et le sommeil qui va avec),
• La conformité réglementaire (un grand classique),
• Les décisions stratégiques qui n’attendent pas,
• Sans oublier les RH, la com’, l’informatique, la qualité…

Résultat : vous portez tout. Tout le temps.

La (bonne) solution dirigeant : savoir s'entourer, sans embaucher à tout-va

Si vous vous sentez concerné, rassurez-vous, il existe une alternative intelligente à l'embauche classique : le temps partagé.

Concrètement ?
Des cadres expérimentés – Responsable RH, DAF, Responsable communication, RSI, QHSE… – travaillent pour vous quelques jours par semaine ou par mois, selon vos besoins, votre budget et vos pics d’activité.

Et là, magie :

Le tout sans les contraintes d’un CDI classique.

Déléguer, c’est pas fuir : c’est décider (enfin) de respirer

On entend encore parfois : « Je suis trop débordé pour déléguer. »

C’est un peu comme dire : « Je suis trop affamé pour manger. »

À un moment, il faut oser lever le pied. Accepter qu'on ne peut pas tout faire (ou tout bien faire). Et que s’entourer des bons profils au bon moment, ce n’est pas une faiblesse, c’est une stratégie gagnante.

En résumé

La charge mentale du dirigeant est une réalité bien trop répandue en 2025. Elle n'est pas une fatalité.

En s'appuyant sur des solutions pour les dirigeants comme le temps partagé, vous gagnez bien plus qu’un coup de main :
▶️ un esprit libéré
▶️ une meilleure organisation
▶️ et une entreprise qui avance (sans que vous finissiez sur les rotules).

Et si on en parlait, justement ?
Chez insitu, nous avons les bonnes personnes, au bon moment, pour les dirigeants comme vous.

Sources