Ces motifs sont cités chacun dans plus de la moitié des recrutements difficiles ; ils se combinent le plus souvent.
L’inadéquation du profil du candidat par rapport aux attentes du recruteur est l’obstacle le plus fréquent dans le processus du recrutement. Ce désajustement peut concerner une candidature sur de nombreux points : le niveau du diplôme, la spécialité de la formation, la durée et la nature de l’expérience du candidat, ses compétences techniques, mais aussi son éloignement géographique ou encore ses exigences en termes de rémunération, de conditions de travail…
Les difficultés liées à la quantité des candidats est la deuxième source de difficulté pour les recruteurs.
Le manque de candidatures est évoqué dans 60 % des recrutements difficiles et la concurrence d’autres entreprises dans 29 % d’entre eux.
Les difficultés de recrutement peuvent aussi être propre à l’entreprise : le déficit d’image de l’entreprise, de l’activité ou du métier compliquent le recrutement dans 31 % des cas.
Trois recrutements difficiles sur dix l’ont été du fait de motifs davantage liés à l’établissement recruteur.
Dans un peu plus d’un cas sur dix, le recruteur reconnaît que des difficultés peuvent être propres à l’établissement : budget non garanti, manque de temps ou de moyens pour recruter…
Dans près d’un quart des cas, il a été handicapé par un déficit d’image de l’entreprise, du secteur d’activité ou du métier.
Ainsi toujours selon cette étude, pour surmonter ces difficultés, les employeurs mettent en œuvre trois grands types d’action :
Vous recrutez ? Vous chercher à recevoir plus de candidatures ?