Il a passé les entretiens avec brio, a accepté votre offre et intégré votre entreprise.
Vous avez misé sur lui, engagé des ressources pour l’accueillir, lui avez présenté votre entreprise et vos équipes. Vous l’avez formé, briefé, chouchouté. Bref, vous avez fait tout ce qu’il faut pour qu’il se sente bien.
Et puis non ! Une offre plus alléchante, un mauvais ressenti et il s’en va…
Ou la rose du recrutement se transforme en ortie. Dans le meilleur des cas vous vous en rendez compte avant la fin de la période d’essai et dans le pire…il reste et vous êtes obligé de licencier.
On estime qu’un recrutement est un échec si le salarié quitte l’entreprise dans les 12 mois.
Qu’il parte de son propre chef ou que vous vous en sépariez, le recrutement est raté.
Mais quel est le vrai coût de cette erreur ?
Les coûts sont de 2 ordres, les coûts financiers dit coûts directs et les coûts indirects.
Les coûts directs :
- Le salaire et les charges associées
- Les dépenses liées au recrutement en lui-même (offres d’emploi, temps passé par le recruteur, le cabinet de recrutement éventuel)
- Le coût du licenciement
- Les investissements matériels pour le salarié (voiture, ordinateur, téléphone…)
Les coûts indirects :
- L’intégration du salarié
- Le coût de la formation
- Le temps pris pour l’intégration
- Les frais liés à la formation (hébergement, transport…)
- Le temps pris par les autres collaborateurs pour intégrer cette recrue dans l’équipe
- La démotivation que vous et vos équipes ressentez
- La charge de travail supplémentaire repartie sur les autres collaborateurs
- Le poste occupe-t-il vraiment un temps plein ?
- Le poste a-t-il besoin d’expertise ou de savoir généraliste ?
- Faut-il que cette personne soit intégrée à l’entreprise ?
Une fois ces questions posées, il est nécessaire de bien définir les missions attachées à la fiche de poste. Vous définirez ainsi bien mieux les compétences clés de la perle rare.
Attention cependant, le mouton à 5 pattes n’existant pas, ne le cherchez pas.
Le marché du travail est complexe et même après ça, le recrutement ne sera pas chose facile.
Le travail aujourd’hui s’entend par l’efficacité. Vous n’avez finalement pas besoin d’une personne mais d’un Talent. Ce talent doit avoir des compétences techniques et du savoir-être (les fameux soft skills). Avec le même budget qu’un recrutement à temps plein (souvent occupé à 80%) vous bénéficiez d’un intervenant plus expérimenté.
En choisissant un accompagnement, vous adaptez la formule à votre besoin.
Vous pouvez moduler la fréquence des interventions à votre activité et vos contraintes.
Vous souhaitez clôturer le contrat, vous le faites sans frais avec seulement un préavis.
Et pour le savoir-être ?
Les Talents qui travaillent selon ces formules ont de l’expérience. Le format leur permet d’être polyvalents, de ne jamais s’ennuyer et donc d’avoir toujours un œil neuf sur les projets qu’ils prennent en charge. Ils seront efficaces plus vite, auront l’expérience d’autres entreprises, d’autres secteurs.
Votre entreprise rencontre des difficultés, vous avez besoin d’un cadre expérimenté pour mener une transition, un changement ou pallier une absence.
Le cadre de transition est là pour prendre en main rapidement vos sujets. Il peut intervenir rapidement sur un temps donné ou sur un projet.